Le 1er avril: pourquoi aimons-nous faire des blagues?

Attention, poisson dans le dos! 

Tu es déjà tombé dans un piège le 1er avril? Une blague de ton frère, un faux contrôle surprise de ton prof ou, pire… un énorme poisson en papier collé dans ton dos sans que tu t’en rendes compte? Pas de panique, tu n’es pas le seul! Mais pourquoi fait-on des blagues ce jour-là? D’où vient cette drôle de tradition? Et surtout… quelles sont les meilleures farces à tester cette année? Accroche-toi bien, on plonge dans le monde des blagues et des fous rires!

Pourquoi dit-on “poisson d’avril”?

D’abord, une question: pourquoi un poisson et pas un éléphant d’avril? Un panda d’avril? Un hamburger d’avril? L’histoire la plus connue remonte à plus de 400 ans! À l’époque, en France, le 1er avril était le premier jour de l’année (eh oui, pas le 1er janvier!). Mais en 1564, le roi Charles IX a décidé de tout changer et de commencer l’année en janvier. Le problème? Certains n’étaient pas au courant (ou refusaient le changement). Alors, pour se moquer d’eux, d’autres ont commencé à leur faire des blagues… et l’habitude est restée!

Et le poisson dans tout ça? En avril, la pêche était interdite car les rivières étaient pleines de petits poissons. Les gens offraient donc de faux poissons en cadeau pour rire. Aujourd’hui encore, en France, on accroche des poissons en papier dans le dos des gens. Alors, regarde bien derrière toi le 1er avril! Et chez toi? Y a-t-il une tradition spéciale pour le 1er avril?

Pourquoi aimons-nous faire des blagues?

Faire des blagues, c’est super drôle (surtout quand c’est toi qui pièges les autres). Mais savais-tu que c’est aussi bon pour la santé? Le rire nous rend plus heureux. Quand on rit, notre corps produit de la dopamine, une hormone qui nous met de bonne humeur. De plus, les blagues rapprochent les gens. Un bon fou rire avec des amis ou des proches, et hop! On se sent plus proche d’eux. Et puis, le stress disparaît. Rire aide notre cerveau à oublier les soucis. C’est un peu comme une pause bonheur. Et toi? As-tu déjà remarqué que tu te sens mieux après un gros fou rire?

Chaque année, des médias, des entreprises et même des gouvernements participent au jeu et inventent de fausses infos totalement absurdes. Attention, la Tour Eiffel va être démontée! Une radio française a annoncé en 1986 que la Tour Eiffel allait être déplacée à… Marseille. Des milliers de personnes y ont cru! Ou encore, en 2018, une entreprise a annoncé la création d’un GPS pour les poissons pour les aider à retrouver leur chemin dans l’océan. Qui sait, peut-être qu’un jour ça existera vraiment! As-tu déjà été piégé par une fausse info? (Et oui, attention aux fake news, même en dehors du 1er avril!)

Et toi, quelle blague vas-tu faire cette année?

Bon, c’est bien beau de parler des blagues des autres, mais maintenant… c’est à toi de jouer! Voici quelques idées (promis, elles sont gentilles):

Dire à un ami: “Oh non, ton lacet est défait!” et voir s’il regarde.

Changer la langue du téléphone d’un ami en chinois ou en russe.

Remplacer la crème des Oreo par de la mayonnaise (attention, sois prêt à courir après!).

Évidemment… coller un poisson en papier dans le dos d’un ami. (Discret, efficace et 100% traditionnel!)

Mais attention,  il faut toujours respecter la règle d’or suivante: une bonne blague, c’est une blague qui fait rire tout le monde! Si quelqu’un est gêné ou triste, ce n’est plus une blague, mais une mauvaise plaisanterie. Alors choisis bien!

Le 1er avril, c’est une journée pour rire, s’amuser et partager de bons moments. Cette tradition existe depuis des siècles et continue encore aujourd’hui, car le rire, c’est la vie! Alors, quelle blague vas-tu tester cette année? Et surtout… regarde bien derrière toi! Qui sait, un poisson pourrait s’y cacher… 

WRW | Mappare un romanzo

Il piacere della lettura

Nell’ottica di educare al piacere di leggere, mi sono sempre scervellato su come rendere attiva e condivisa la lettura integrale di romanzi, che è una delle attività autonome più comuni nella nostra pratica didattica. 

È opportuno trovare un’alternativa alla classica scheda libro, un compito che, in base alla mia esperienza, è più adatto alla schedatura di testi utili alla stesura di un testo espositivo-argomentativo. La vita in classe insegna che la scheda è meno adatta alla condivisione dell’esperienza di lettura, come la intende Louise Rosenblatt in The Reader, the Text, the Poem: una costruzione condivisa tra scrittore e lettore, unica e irripetibile. Questa proposta si inquadra coerentemente in una didattica laboratoriale della lettura e ne rinforza le strategie e gli obiettivi.

Creare una mappa letteraria

Mi sono imbattuto in un’intuizione di Carla Colussi: creare una mappa letteraria. Me ne ha dato la cornice teorica Peter Turchi in Maps of the Imagination: “la creazione artistica è un viaggio nell’ignoto”. L’obiettivo diventa quindi la navigazione dei  testi come sostiene Frank Serafini ma, per farlo, serve ricostruire la mappa condivisa tra scrittore e lettore. Un esempio pratico è la strategia “La mappa della narrazione” che ci viene presentata in Leggere, comprendere, condividere da Linda Cavadini, Loretta De Martin e Agnese Pianigiani.

Ricostruire le coordinate spazio-temporali della narrazione, non solo fisiche ma anche simboliche, all’interno di una mappa diventa così un’azione attiva, che costringe il lettore a relazionarsi profondamente con il testo, a visualizzare, a immergersi per esplorare e orientarsi: tutto questo diverte, stimola, valorizza competenze come il disegno (a mano o digitale), include gli studenti che faticano con le parole e simpatizzano con le immagini.

Uno strumento utile è Plotted di Andrew DeGraff: 19 “classici” mappati graficamente come, per esempio, l’Odissea o l’Amleto. Andrew De Graff ha realizzato alcune mappe grafiche che rappresentano anche trame di film famosi. Un altro esempio possibile è questa mappa dei Promessi Sposi. In alternativa l’insegnante stesso può realizzare degli esempi da presentare alla classe.

Ti proponiamo un laboratorio per allenare la classe (preferibilmente a partire dal secondo anno della scuola secondaria di secondo grado) a mappare un romanzo. Tieni presente che:

  • si può proporre l’attività come lavoro individuale o collaborativo, con ruoli precisi per ogni membro del gruppo;
  • si può lavorare in chiave interdisciplinare collaborando con i docenti di  disegno e storia dell’arte (discipline grafico pittoriche), di tecnologia e di tecniche della comunicazione visiva;
  • se si è molto innovativi e la scuola ha una superdotazione tecnologica, si può organizzare una mostra virtuale con applicazioni che permettono di creare ambienti virtuali.

 

Al termine dell’attività potrai valutare gli elaborati prodotti da studenti e studentesse utilizzando questa rubrica di valutazione. 

1 2 3 4 5
Individuazione delle coordinate spazio-temporali Confusa, fraintesa Incerta, parziale Essenziale, superficiale Adeguata, coerente Esaustiva, organica
Interpretazione Vaga, generica imprecisa, limitata Elementare, consapevole Definita, anche simbolica Precisa, interiorizzata (anche a livello simbolico)
Rappresentazione grafica Poco coerente Approssimativa Semplice, funzionale Creativa, efficace Complessa e originale
Esposizione orale Confusa, incerta, poco comprensibile Monotona, con alcune incertezze, non sempre comprensibile Comprensibile, semplice Chiara, funzionale Scandita, coinvolgente

Per approfondire

  • Sitografia:

 

  • Bibliografia:
  • Andrew DeGraff, Daniel Harmon, Plotted: A Literary Atlas, Zest Books, 2015
  • Peter Turchi, Maps of the Imagination: The Writer as a Cartographer, Trinity University Press, 2007
  • Louise M. Rosenblatt, The Reader, the Text, the Poem: The Transactional Theory of the Literary Work, Southern Illinois University Press, 1994
  • Frank Serafini, Lessons in Comprehension: Explicit Instruction in the Reading Workshop, Heinemann, 2004
  • Linda Cavadini, Loretta De Martin, Agnese Pianigiani, Leggere, comprendere, condividere. Guida all’analisi del testo narrativo, Pearson, 2021
  • Umberto Eco, Storia delle terre e dei luoghi leggendari, Bompiani, 2013

Un manuel qui vous donne la parole: découvrez le Nouveau InstaFrance!

Apprendre le français, ce n’est pas seulement mémoriser des règles de grammaire et des listes de vocabulaire. C’est aussi découvrir une culture, s’exprimer librement, débattre, et surtout, trouver sa voix. Avec le Nouveau InstaFrance, c’est exactement ce que vous allez faire!

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi apprendre une langue? Pour discuter avec des amis étrangers? Voyager? Regarder des films sans sous-titres? Oui, mais pas seulement. Apprendre le français, c’est aussi comprendre le monde qui vous entoure, développer votre esprit critique, et vous ouvrir à de nouvelles perspectives. Et si votre livre de français devenait un véritable espace d’expression, où vous pouvez donner votre avis sur des sujets qui comptent pour vous?

Des sujets qui vous concernent

On parle souvent de la citoyenneté active, mais que signifie-t-elle concrètement? Cela veut dire être acteur du monde dans lequel on vit. Dans ce manuel, vous allez découvrir des thèmes actuels et engagés, qui vous touchent directement:

  • Journée européenne des langues et devise européenne: Que signifie la devise “Unis dans la diversité” pour vous? Pourquoi est-il important de célébrer les langues en Europe?
  • Vies instantanées avec les réseaux sociaux: Comment les réseaux transforment-ils nos relations et notre perception du monde?
  • Les ados et le boulot: Est-il facile de trouver un job étudiant? Quelles compétences faut-il pour entrer dans le monde du travail?
  • Esprit critique à travers le rap français: Pourquoi le rap est-il un puissant outil de dénonciation sociale? Comment décrypte-t-on un texte engagé?
  • Jeunesse et mobilité pour une ouverture d’esprit: Quels sont les programmes qui permettent d’étudier ou de voyager à l’étranger? Comment cela change-t-il notre vision du monde?
  • L’amitié et le volontariat sans frontière: Pourquoi s’engager pour les autres? Comment le volontariat peut-il être une expérience enrichissante?
  • Green Deal et nucléaire: Comment l’Europe envisage-t-elle son avenir énergétique? Peut-on réellement atteindre une transition verte?
  • L’éco-anxiété: Comment gérer la peur du futur climatique? Peut-on agir sans se sentir submergé?

 

Et ce n’est qu’un aperçu! Chaque thème est abordé à travers des débats, des témoignages, des vidéos et des podcasts, pour vous permettre d’exprimer votre point de vue et d’enrichir votre réflexion.

Exprimez-vous en français (vraiment!)

Vous trouvez parfois difficile de parler en classe? Vous avez des idées, mais ne savez pas toujours comment les formuler en français? Bonne nouvelle: InstaFrance est conçu pour vous aider à prendre confiance à l’oral. Dans ce manuel, vous trouverez:

  • Un apprentissage social, émotionnel et éthique: Grâce au podcast La voix des jeunes, vous explorerez vos émotions à travers des témoignages sincères et engageants.
  • Des activités de médiation linguistique: vous apprendrez à reformuler, résumer et expliquer des idées de façon claire et efficace. Ces compétences vous aideront dans vos traductions, vos synthèses et vos relectures.
  • Des vidéos inspirées des réseaux sociaux: Parce que le français se vit aussi en dehors des manuels, sur TikTok, YouTube et ailleurs!

 

Un manuel qui vous accompagne dans vos projets

Apprendre une langue, c’est aussi préparer son avenir. Que vous souhaitiez étudier à l’étranger, travailler dans un domaine international ou simplement voyager, le Nouveau InstaFrance vous aide à développer des compétences utiles:

  • Comprendre le monde du travail: Comment trouver un job étudiant? Quelles sont les valeurs du travail civique et du volontariat?
  • Partir à l’étranger: Erasmus, volontariat, mobilité… quelles sont les options pour vous?
  • Se préparer au DELF: Avec des ressources adaptées pour obtenir une certification reconnue dans le monde entier.

 

Un français vivant, un apprentissage qui a du sens

Avec le Nouveau InstaFrance, vous ne vous contenterez pas d’apprendre le français, vous le vivrez. Vous développerez votre réflexion, échangerez avec les autres et vous préparerez votre futur. Alors, prêts à prendre la parole?

 

Scopri il corso Nouveau InstaFrance.

 

 

 

 

 

 

 

Falsos amigos entre el italiano y el español: ¡cuidado con las trampas lingüísticas!

El italiano y el español son lenguas hermanas, ambas derivadas del latín. Esta similitud trae consigo muchas ventajas, pero también algunas trampas: los falsos amigos. Se trata de palabras que, aunque similares en su forma, tienen significados diferentes. Estos términos pueden generar malentendidos fácilmente, especialmente para quienes están comenzando a estudiar español.

Un falso amigo es una palabra que, aunque tiene una forma parecida a otra en un idioma diferente, no comparte el mismo significado. Estas palabras pueden parecer inofensivas, pero son una de las principales causas de errores al aprender un idioma extranjero. En el caso del italiano y el español, estos errores pueden variar desde divertidos malentendidos hasta situaciones embarazosas, sobre todo en contextos formales o profesionales.

Aquí hay algunos ejemplos de falsos amigos comunes:

“Burro”

En italiano: burro es la grasa derivada de la leche que usamos para cocinar.

En español: burro significa asino. Así que, si pides burro en España, puede que no obtengas lo que esperas. La palabra correcta para burro en español es mantequilla.

“Tavola”

En italiano: tavola es el objeto sobre el que comemos, o la superficie en general.

En español: tavola no existe, pero “tabla” se utiliza para referirse a una tavola en sentido físico, como una tabla de madera o una tabla de surf. Para decir tavola como lo entendemos en italiano (es decir, la tavola dove mangiamo), en español se usa mesa.

“Firma”

En italiano: firma es la marca escrita que se coloca en un documento oficial.

En español: a parte del mismo significado que tiene en italiano, firma se refiere también a una empresa o marca. Por ejemplo: Loeve es mi firma de moda preferida.

“Largo”

En italiano: largo se refiere a algo ancho o espacioso.

En español: largo significa lungo. Si quieres decir largo, en español tienes que usar ancho.

“Ropa”

En italiano, roba es un término general que se usa para referirse a objetos o cosas en general. En español, “ropa” significa vestimenta. Por lo tanto, no confundas “ropa” con roba en italiano: si estás en España y deseas hablar de objetos en general, utiliza “cosas”.

Conocer los falsos amigos es fundamental para evitar malentendidos, especialmente en contextos más formales o profesionales. Además, entender estos falsos amigos contribuye a mejorar la precisión en el uso del lenguaje y a prevenir que las similitudes entre ambos idiomas se conviertan en una trampa. Si aprendemos a identificar estas palabras y sus significados correctos, podremos comunicarnos con mayor claridad y eficacia.

L’autrice

Alba di Egness, madrelingua spagnola, laureata in economia e con un master in marketing, si trasferisce in Italia nel 2016 e si specializza nell’insegnamento dello spagnolo per studenti di madrelingua italiana. Content creator e Fondatrice dell’Accademia Egness, la prima scuola online di spagnolo per italiani.

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Imparare divertendosi: come farlo durante l’estate?

L’ Italia è tra i Paesi europei dove la pausa estiva per gli studenti si protrae più a lungo. Ad esempio, in Germania e in Danimarca la pausa estiva per gli alunni della scuola primaria e secondaria è di circa 6 settimane; in Olanda, Norvegia e Francia è inferiore a 8 settimane. Nella gran parte delle regioni italiane, invece, raggiunge le 13 settimane.

L’impatto delle sospensioni scolastiche sugli apprendimenti e sul benessere di bambine, bambini e adolescenti è ancora oggi poco approfondito: per questo motivo, nel 2024, Save the Children e Fondazione Agnelli hanno pubblicato il rapporto L’estate è arrivata…e i bambini?. Nella crescita dei minorenni la pausa estiva è un momento cardine e l’eventualità spesso frequente che in quei mesi manchino opportunità socioeducative a loro beneficio, pesa sul vissuto presente e sul lungo periodo, da un lato, facendo trascorrere loro il periodo estivo in modo meno lieto e stimolante, e dall’altro, accrescendo il rischio di perdita di competenze per chi non riesce ad accedere ad iniziative di qualità.

Per questo motivo, nel 2020 nasce il progetto Arcipelago Educativocome intervento di contrasto al summer learning loss, con l’obiettivo di lavorare sul consolidamento delle competenze di base e trasversali e la relazione tra pari, secondo il principio dell’“imparare giocando”. Il progetto prevede laboratori didattici di gruppo, tutoraggi personalizzati e attività di outdoor education. “Arcipelago Educativo” inoltre mette a disposizione l’omonima piattaforma digitale, con oltre 500 risorse educative e didattiche sperimentate sul campo.

Arcipelago Educativo” è stato sottoposto ad una rigorosa valutazione di impatto: l’analisi (che è possibile approfondire qui) dimostra per i partecipanti una crescita di apprendimenti in matematica e italiano, equivalente rispettivamente a 2 e 3 mesi e mezzo di scuola.

Anche per l’estate 2025, Save the Children vuole sostenere le scuole che si impegnano per garantire a bambine e bambini un’estate ricca di opportunità educative. Per approfondire la proposta e candidarsi entro il 15 aprile, visitate la pagina dedicata.

2025: Anno internazionale della scienza e della tecnologia quantistica

Il 7 giugno 2024 l’Assemblea generale delle Nazioni Unite ha proclamato il 2025 “Anno internazionale della scienza e della tecnologia quantistica”, riconoscendo la grandissima rilevanza dei risultati di questa scienza che ha cambiato il modo di vedere il mondo ed ha permesso notevoli progressi in campo tecnologico.

Fabio Beltram, fisico italiano, coordinatore nazionale del National Quantum Science and Technology Institute (Nqsti), in occasione del congresso Nqsti tenutosi a Roma a febbraio, ha detto:

“Le tecnologie quantistiche saranno il vero salto tecnologico di questo secolo. I computer quantistici sono solo una parte di questa rivoluzione paragonabile al salto dal vapore all’elettricità. Dalle comunicazioni ai nuovi materiali, le tecnologie quantistiche sono destinate a rivoluzionare molti settori, ad esempio la medicina, con diagnosi di tumori che potranno essere fatte già quando il tumore è di appena due cellule e non come oggi, quando di fatto si manifesta”.

Queste teorie affascinanti sono però sconosciute al grande pubblico che stima difficile comprenderne il significato.

Questo Anno internazionale, che celebra il centesimo anniversario dei primi sviluppi della moderna meccanica quantistica, di certo fornirà una preziosa opportunità per sensibilizzare soprattutto i giovani sul ruolo della scienza e della tecnologia quantistica nelle nostre vite ispirandoli a diventare la prossima generazione di pionieri quantistici.

Sebbene la teoria quantistica possa sembrare all’avanguardia, le sue radici risalgono alla fine del XIX e all’inizio del XX secolo, quando gli scienziati iniziarono a rendersi conto che la fisica classica, insieme delle teorie fisiche sviluppate fino a circa l’inizio del XX secolo, non poteva spiegare certi fenomeni osservati a livello atomico e subatomico. Così brillanti e visionari ricercatori, molti dei quali provenienti dai paesi dell’Europa centrale, elaborarono le basi della teoria quantistica, una teoria che ha condotto a un profondo cambiamento della comprensione dell’universo fisico.

La meccanica quantistica spiega le proprietà delle molecole, degli atomi e dei loro costituenti ancora più piccoli, come elettroni, protoni, neutroni e quark, e descrive come queste particelle interagiscono tra loro e con la luce, i raggi X, i raggi gamma e altre forme di radiazione elettromagnetica. Consente inoltre di capire la natura dei legami chimici, le proprietà dei solidi cristallini, l’energia nucleare e le forze che stabilizzano le stelle collassate. 

La meccanica quantistica ha rivelato che alla scala atomica il comportamento di materia e radiazione è molto diverso da quello che è osservabile alla scala macroscopica, quella cioè che osserviamo tutti i giorni. I concetti della meccanica quantistica, infatti, sono spesso in conflitto con le nostre idee di buon senso, idee che sono state sviluppate attraverso osservazioni del mondo a scale più grandi. 

Mentre le leggi della fisica classica consentono di determinare esattamente come si comporteranno la materia e la radiazione, alla base della meccanica quantistica vi sono l’indeterminatezza e la casualità o l’incertezza, ma ciò non vuol dire che le previsioni sulle proprietà dei sistemi atomici e subatomici che essa consente di effettuare siano indeterminate: esse hanno evidenti conferme sperimentali. 


Max Planck
Il termine “quanto” fu usato per la prima volta da Max Planck nel 1900. Il fisico tedesco stava studiando la relazione tra il colore della radiazione emessa da un corpo riscaldato e la sua temperatura e si rese conto che le previsioni teoriche fornite dalla fisica classica erano incompatibili con i dati sperimentali raccolti. Le teorie classiche prevedevano che lo scambio di energia tra corpo riscaldato e radiazioni emesse avvenisse in modo continuo e Planck per spiegare i risultati sperimentali ipotizzò che l’energia fosse quantizzata, il che significa che poteva essere emessa o assorbita solo in unità discrete chiamate appunto “quanti”. Questa idea rivoluzionaria gettò le basi per lo sviluppo della teoria quantistica.
Nel 1905, Albert Einstein utilizzò l’ipotesi quantistica per spiegare l’effetto fotoelettrico, un fenomeno che avviene quando la luce colpisce un materiale metallico e questo rilascia elettroni. La teoria ondulatoria della luce non riusciva a spiegare perché la luce al di sotto di una certa frequenza, indipendentemente dalla sua intensità, non riuscisse a espellere elettroni. Einstein propose che la luce stessa fosse composta da quanti, in seguito chiamati fotoni, e che l’energia di questi fotoni fosse proporzionale alla frequenza della radiazione. Questa spiegazione ipotizzava la natura particellare della luce e valse a Einstein il premio Nobel per la fisica nel 1921. Quindi la luce aveva sia una natura ondulatoria che particellare: da qui l’espressione dualismo onda-particella
Albert Einstein

 

Nel 1924 il fisico francese Louis Victor de Broglie intuì che questo aspetto dualistico era la manifestazione di un principio naturale più generale: così come la radiazione luminosa presenta una natura palesemente ondulatoria, ma può comportarsi come un insieme di corpuscoli, così le particelle, come ad esempio l’elettrone e il protone, che sono dei corpuscoli, possono comportarsi in determinate circostanze come delle onde. Diversi esperimenti confermarono l’intuizione di De Broglie: particelle come elettroni e protoni potevano dar luogo a fenomeni tipici delle onde.

Contemporaneamente progrediva la conoscenza della struttura dell’atomo. Nel 1911 Ernest Rutherford, fisico neozelandese naturalizzato britannico, scoprì che la maggior parte della massa dell’atomo è nel nucleo. 


Niels Bohr
Nel 1913 Niels Bohr, un fisico danese, perfezionò il modello di Rutherford, proponendo il suo modello atomico in cui gli elettroni occupano orbite fisse attorno al nucleo e saltano tra queste orbite assorbendo o emettendo quanti di energia. La teoria elaborata da Bohr, che metteva insieme l’ipotesi quantistica della radiazione e la teoria del moto della meccanica classica, riusciva però a spiegare solo il comportamento dell’atomo di idrogeno.
Nel 1925, il fisico tedesco Werner Heisenberg elaborò la così detta meccanica delle matrici, una delle prime formulazioni complete della meccanica quantistica. È di Heisenberg l’enunciato del principio di indeterminazione, ovvero l’impossibilità di conoscere esattamente nello stesso istante il valore della posizione e della velocità di una particella. Il principio di indeterminazione è la prima importante differenza tra la meccanica classica e quella quantistica. 
Werner Heisenberg

Erwin Schrödinger
Nel 1926 Erwin Schrödinger, un fisico austriaco, elaborò la così detta meccanica ondulatoria, che descrive come lo stato quantistico di un sistema fisico cambia nel tempo. L’equazione d’onda di Schrödinger divenne un’equazione centrale nella meccanica quantistica, collegando le proprietà ondulatorie delle particelle al loro comportamento fisico.

 

Le soluzioni dell’equazione di Schrödinger superano i limiti dell’ipotesi di Bohr sulla struttura dell’atomo: al concetto di traiettoria degli elettroni si sostituisce quello di orbitale che è legato alla probabilità di trovare l’elettrone in una determinata posizione nella zona di spazio attorno al nucleo dell’atomo. Le soluzioni dell’equazione di Schrödinger spiegano il comportamento degli elettroni nell’atomo.

La nascita formale della meccanica quantistica è legata dunque ai contributi di Heisenberg e Schrödinger: la meccanica delle matrici e la meccanica ondulatoria, le prime due formulazioni della meccanica quantistica, pur differenti, portano infatti agli stessi risultati.

La storia dell’elaborazione delle idee della meccanica quantistica è molto interessante. I fisici che hanno elaborato questa teoria hanno avuto intuizioni da visionari e costantemente hanno messo alla prova le idee innovative e controintuitive che andavano via via emergendo dalle loro ricerche. La collaborazione tra questi scienziati è stata rilevante e, nonostante a volte si siano anche scontrati per le loro diverse posizioni, costituisce un esempio esemplare di costante ed efficace confronto di idee.

Orientamento Scienze: accendere la passione per le scienze

Spesso le nostre passioni affondano le radici in esperienze formative che hanno lasciato il segno: un esperimento scientifico che ha acceso la curiosità, un insegnante carismatico che ha aperto nuovi orizzonti o un fenomeno naturale che ha suscitato meraviglia. Queste esperienze possono aver orientato le nostre scelte di vita, conducendoci verso la nostra attuale professione.

L’orientamento scolastico è un processo continuo che si snoda lungo l’intero percorso di studi e che intreccia l’apprendimento con la scoperta delle proprie inclinazioni e non può ridursi a una scelta da compiere in momenti chiave, come il passaggio alla scuola superiore di secondo grado o all’università.

Anche le linee guida del MIM (D.M. n. 328 del 22 dicembre 2022) sottolineano che l’orientamento non deve essere un compito relegato ad alcuni docenti nei momenti di transizione, ma un elemento integrante della didattica, con un forte valore pedagogico. Per questo, è essenziale adottare strategie che rendano l’orientamento un’esperienza concreta e coinvolgente.

Tra le metodologie più efficaci per promuovere l’orientamento, l’Inquiry-Based Learning (IBL) permette di stimolare la curiosità, incentivando la partecipazione attiva degli studenti: affrontare problemi reali e lavorare in contesti autentici consente infatti ai ragazzi di sperimentare direttamente l’applicazione delle conoscenze scientifiche. Immaginiamo per esempio un progetto in cui gli studenti monitorano la qualità dell’aria o analizzano il riciclo dei rifiuti nella loro città. Oltre a sviluppare competenze critiche e collaborative, questi percorsi aiutano a far emergere passioni e possibili inclinazioni professionali. In questo contesto, l’insegnante assume il ruolo di facilitatore e guida, creando situazioni in cui ogni ragazzo può sperimentare, riflettere e mettere in gioco le proprie competenze. 

Il libro di testo Orientamento SCIENZE adotta proprio questa prospettiva. Ogni unità didattica si apre con la testimonianza di un professionista che ha trasformato la sua passione in un lavoro. Quaranta testimonial raccontano il loro percorso e condividono le sfide quotidiane della loro professione, mostrando che la scienza non è solo teoria, ma anche esperienza pratica ed emozionante: un ornitologo che segue gli uccelli marini utilizzando il GPS per studiarne le migrazioni; un glaciologo che analizza i cilindri di ghiaccio prelevati dall’Artico per studiare i cambiamenti climatici; un ricercatore ecoacustico che registra le voci delle foreste equatoriali ancora incontaminate; un ingegnere aerospaziale che studia la sicurezza delle auto simulando incidenti; un microbiologo che esplora i fondali oceanici a caccia di batteri estremofili; una biologa che ha sviluppato un robot-plantoide con radici artificiali in grado di crescere nel suolo.

Queste testimonianze possono essere strumenti di ispirazione e motivazione, permettendo agli studenti di immedesimarsi e immaginare i loro possibili percorsi futuri. Eccone alcuni esempi:

 

Rosario Balestrieri studia gli uccelli marini del Mediterraneo. “Quando non sono in mare con binocolo e cannocchiale, racconto il mio lavoro sui social o in TV. Nell’intervista parla anche della sua difficile esperienza scolastica come DSA non diagnosticato. Telmo Pievani, filosofo della biologia specializzato in Evoluzione, insegna all’Università di Padova ed è autore di numerose pubblicazioni anche per ragazzi. Nell’intervista dice di sé: “Ho lavorato con i più grandi scienziati che si sono occupati di evoluzione, dopo Charles Darwin”. Amalia Ercoli-Finzi, progettista di missioni spaziali, è stata la prima donna in Italia a laurearsi in Ingegneria aeronautica. “Confido che in futuro si riesca ad andare su Marte con un equipaggio del quale faranno parte anche le donne”.
Figure ed esempi tratti dal libro di testo Orientamento Scienze, Fabbri Editore, 2025

 

Per aiutare studenti e studentesse a riflettere sulle proprie inclinazioni, Orientamento SCIENZE propone domande stimolanti: Ti piacerebbe esplorare il nostro pianeta? Vorresti imparare come rendere le auto più sicure o salvare una foresta? Domande come queste aprono nuovi scenari, incoraggiando la riflessione sulle possibili scelte future.

 

 

 

 

 

 

Inoltre, nel libro Orientamento SCIENZE sono presenti alcuni box dedicati a specifiche professioni, da medici specialisti come l’ortopedico, il fisiatra e il genetista, a esperti di ambiti scientifici meno noti, come il petrografo o l’entomologo, aprendo una finestra sulle molteplici opportunità offerte dal mondo scientifico.

 

 

 

 

 

 

Allo scopo di promuovere l’orientamento di studenti e studentesse, le linee guida per l’orientamento del 2022 hanno introdotto un nuovo strumento, l’E-Portfolio, che comprende il Capolavoro dello studente. Esso consiste nella realizzazione di almeno un prodotto significativo per anno scolastico che gli studenti riconoscano come il proprio capolavoro. Esso può essere svolto in ambito scolastico o extrascolastico attraverso attività individuali o di gruppo. 

Per valorizzare i percorsi individuali di apprendimento e favorire la riflessione su interessi e aspirazioni personali, Orientamento SCIENZE propone anche diversi ulteriori strumenti, come compiti autentici e attività di laboratorio, alcuni dei quali progettati esplicitamente per la realizzazione del “Capolavoro”. 

L’approccio che gli autori hanno seguito permette infine agli studenti di autovalutarsi e di riflettere sulle attività svolte mettendo in luce le loro abilità in modo da orientarsi consapevolmente verso il proprio futuro.

Per approfondire

Alfano, Boccardi, De Masi, Forni, Orientamento Scienze, Fabbri Editori, 2025

 

 

Il libro di testo e i “fatti” tecnologici

Più tecnologie per risolvere uno stesso problema

La concorrenza dei prodotti industriali si gioca su più piani, dal rapporto qualità/prezzo alla legislazione sui brevetti. 

La legge sui brevetti approvata in Germania nel 1877, per esempio, aveva una fondamentale differenza da quella francese: il brevetto tedesco proteggeva il processo di produzione di un oggetto, non l’oggetto stesso, come invece accadeva in Francia. La legge tedesca stimolava la ricerca di tecnologie alternative per produrre lo stesso oggetto.

Nel 1888 a New York davanti alla AIEE, Nicola Tesla espose la possibilità di realizzare un motore elettrico in corrente alternata: monofase con avvolgimenti sul rotore. Anche la AEG di Berlino era impegnata nello sviluppo della corrente alternata, e fu proprio la volontà di sottrarsi ai brevetti Tesla-Westinghouse che la portò poco dopo a sviluppare un proprio motore elettrico. Vennero così alla luce il rotore a gabbia e l’alimentazione trifase.

I “fatti” tecnologici

L’evoluzione tecnologica comporta frequenti aggiornamenti dei contenuti delle discipline tecniche. Tante tecnologie diverse per risolvere uno stesso problema. Nel mondo reale tutto e interconnesso, intrecciato e disordinato. Lo studente si trova davanti ai “fatti” tecnologici come uno storico davanti ai “fatti” storici, i quali, secondo lo storico inglese Edward Carr:

“… non si possono minimamente paragonare a pesci allineati sul banco del pescivendolo. Piuttosto, li potremmo paragonare a pesci che nuotano in un oceano immenso e talvolta inaccessibile: e la preda dello storico dipende in parte dal caso, ma soprattutto dalla zona dell’oceano in cui egli ha deciso di pescare e dagli arnesi che adopera: va da sé che questi due elementi dipendono a loro volta dal genere di pesci che si vuole acchiappare. In complesso, lo storico si impadronisce del tipo di fatti che ha deciso di cercare” (“Sei lezioni sulla storia”, 1961).

Il libro di testo e i “fatti” tecnologici

La voglia di procedere da soli, quando è presente, porta spesso gli studenti a sforzi inconcludenti che generano sconforto e disorientamento; andare a pesca nell’oceano immenso dei “fatti” tecnologici presuppone un retroterra culturale di cui gli studenti sono tutt’altro che provvisti; il ricorso agli strumenti dell’intelligenza artificiale non risolve il limite culturale.

Gli studenti hanno bisogno di una guida e il compito spetta al docente, che trova nel libro di testo gli elementi per orientarsi e scegliere gli arnesi adatti a catturare e rendere accessibili i “fatti” tecnologici fondamentali.

Il libro di testo non è l’oceano immenso dei fatti tecnologici; i suoi autori sono già andati a pesca; hanno già scelto zona e strumenti; hanno già pescato alcuni “fatti”, che il docente trova solo parzialmente allineati; a lui il compito di completare l’allineamento.

Barriers and boundaries in and out of literature – a thematic approach

Since the beginning of Trump’s presidential campaign, he has promised to begin his second term with new efforts to limit legal migration. “Our southern border is overrun by cartels, criminal gangs, known terrorists, human traffickers, smugglers, unvetted military-age males from foreign adversaries, and illicit narcotics that harm Americans,” according to an order Trump signed that declares a national emergency at the southern border. This is the reason why, in the first days of his presidency, he has restored the so-called “Remain in Mexico” program that it requires migrants seeking asylum to remain in Mexico until their US immigration court date.

Unfortunately, borders and boundaries have always been a problem in history. 

Here you’ll find a thematic approach to the issue, navigating texts and resources in and out of literature.

Border walls are among the most politically charged structures in the world today. While some – such as President Trump argue they enhance safety and control, others see them as divisive and ineffective solutions to complex issues. The following activity explores 3 of the most controversial walls in the world.

Hadrian’s wall

The first official wall ever built on English soil, is Hadrian’s wall. It took several decades for the Romans to extend their control to the northern edge of the island, where they eventually built a great defensive wall, stretching over almost 120 kilometres, from the North Sea to the Irish Sea. They called it Hadrian’s Wall, after the Roman Emperor Hadrian who ordered its construction. It marked the Empire’s northern frontier, the region where Roman military control was weakest while riots and revolts were more frequent. In fact, the Romans never managed to penetrate into the mountains of Wales and Scotland, while the area south of Hadrian’s Wall became the Roman province of Britannia and stayed under Roman rule for nearly 400 years.  (see LIT HUB, vol1) Stretching about 73 miles from the east coast to the west, it was made from stone and turf and featured forts, milecastles, and turrets along its length. 

The wall also served as a symbol of Roman power and a means of controlling trade and military movement. Today, it stands as a UNESCO World Heritage site and a popular archaeological landmark.

Walls are not always made of bricks and concrete. Invisible walls made of prejudice are often more pervasive and damaging than physical barriers, shaping the way individuals and groups interact across society. The following activities explore the theme of invisible walls.

 

Scarica il pdf tratto da GREAT INSPIRATIONS: REDUCED INEQUALITIES

 

Scarica il pdf tratto da GREAT INSPIRATIONS: BE INCLUSIVE 

 

Many novels take into consideration the role walls have in our lives. An example is “The Wall” by John Lanchester. This dystopian novel explores themes such as climate change, division, immigration and many more. Rising seas have forced nations to build concrete barriers to keep out both water and desperate refugees known as “Others”. The protagonist, Joseph Kavanagh, is a young boy who, at the beginning of the novel, begins his compulsory service as a defender of the wall.

 

 

 

 

 

Possible activities include lessons on:

  • Others
  • Relationship between the wall and daily life
  • Social engineering (relationship Kavanagh-Hifa)
  • Life on and off the Wall (trip to London)
  • Climate change

E se l’IA fosse uno studente? Come le IA rispondono alle prove INVALSI

L’intelligenza artificiale (IA) è diventata un tema centrale nel dibattito educativo e sociale, coinvolgendo tanto la didattica quanto i metodi di valutazione. Se da un lato i sistemi di IA promettono di semplificare alcuni processi di analisi e apprendimento, dall’altro emergono questioni importanti legate all’affidabilità dei modelli e alla loro effettiva “capacità” di ragionare. Le aziende produttrici si pubblicizzano dichiarando l’uscita di modelli sempre più “intelligenti”, ma come si misura la capacità di ragionamento di un sistema di IA? 

Per rispondere a questa domanda sono stati costruiti numerosi benchmark, indici misurabili, con l’idea di confrontare fra di loro i vari Large Language Model (quali ad esempio ChatGPT, Claude o LLaMa). Tuttavia, gli attuali indicatori presentano spesso alcuni di questi limiti: 

  • i benchmark vengono ideati e applicati dalle stesse aziende produttrici;
  • test e addestramento attingono a una sovrapposizione sostanziale di fonti, minando la validità dei risultati, in quanto il modello “riconosce” le risposte invece di “ragionare”;
  • i benchmark si riferiscono unicamente a domande e risposte fornite in lingua inglese.

Inoltre, molti di questi indicatori misurano principalmente la capacità di completare frasi o di riconoscere pattern statistici, senza valutare in modo adeguato la profondità del ragionamento, l’adattabilità a contesti specifici e la coerenza. 

I sistemi di AI giudicati attraverso le prove INVALSI

Alcuni gruppi di ricerca italiani, fra cui uno dell’Università di Milano Bicocca, hanno proposto e stanno sperimentando l’utilizzo dei test INVALSI pubblici come benchmark per confrontare la performance dei vari sistemi di IA disponibili. A prima vista potrebbe sembrare insolito sottoporre un’IA a un test pensato per gli studenti, eppure proprio studi recenti (come quello citato) mostrano che questi strumenti standardizzati possono costituire un benchmark efficace per capire quali modelli di IA siano più adatti a specifici compiti linguistici, logico-comprensivi e di ragionamento.

Le prove INVALSI, concepite per misurare competenze quali la comprensione del testo, le capacità di riflessione linguistica e le abilità logiche e matematiche, stanno aiutando i ricercatori a evidenziare molti limiti degli attuali sistemi di IA.

Gli errori commessi dai sistemi IA crescono all’aumentare del grado scolastico

Le analisi condotte mostrano una tendenza piuttosto chiara: le intelligenze artificiali ottengono risultati generalmente migliori sulle prove INVALSI di grado inferiore, ad esempio la scuola primaria rispetto a quelle di scuola secondaria, dove si richiedono competenze più complesse e una maggiore capacità di ragionamento. 

Ma dov’è che le IA incontrano maggiore difficoltà?

I modelli di IA sembrano gestire bene i quesiti a risposta multipla semplice su testi o nozioni di base, mentre incontrano difficoltà evidenti in attività che richiedono elaborazioni linguistiche approfondite, interpretazioni articolate o conoscenze più strutturate, tipiche dei livelli di istruzione superiori. 

Ragionamenti sbagliati che possono portare alla risposta giusta

Un’evidenza degna di nota riguarda poi i quesiti di riflessione linguistica o di logica avanzata, dove il modello è chiamato ad applicare più passaggi di ragionamento per arrivare alla soluzione. In alcuni casi, le IA analizzate sono giunte alla risposta esatta, ma attraverso un processo tutt’altro che lineare o coerente: ad esempio, per stabilire se in una frase fosse corretta o meno l’aggiunta di una lettera “h”, un modello ha iniziato inspiegabilmente a tradurre il testo in francese e a confrontare la presenza della “h” in varie parole francesi, ignorando del tutto la regola ortografica italiana. In altri frangenti, gli algoritmi hanno mescolato nozioni matematiche fuori contesto o generato paragrafi senza alcun nesso logico, salvo poi “approdare” al risultato giusto quasi per combinazione. Questo meccanismo di “ragionamento contorto” solleva interrogativi sulla validità delle spiegazioni che l’IA fornisce e su quanto la correttezza della risposta sia frutto di un processo statistico casuale.

In generale, si nota che — sebbene l’IA arrivi a indicare alcune risposte in maniera efficace — non sempre è in grado di approfondire il perché di quelle risposte. Questo è un aspetto cruciale per i docenti, che nell’interpretare il risultato di una prova valutano non solo la correttezza, ma anche i processi di apprendimento e di ragionamento sottostanti.

Quesiti a cui le IA si rifiutano di rispondere

Alcuni modelli, specie quelli a carico di grandi aziende, si rifiutano di rispondere nei casi in cui la domanda includa parole percepite come violente o discriminatorie. Possono essere un esempio i testi che parlano di guerra o di contestazione. Questo è dovuto a sistemi di protezione che vengono inseriti al fine di evitare usi impropri delle IA o la generazione di contenuti discriminatori o pericolosi. Tuttavia, i sistemi proprietari, non avendo una reale comprensione del contesto, tendono a “censurare” contenuti che percepiscono come inadeguati, anche quando tali passaggi sono assolutamente leciti e funzionali all’esercizio di comprensione.

L’interesse dell’Istituto INVALSI per i risultati di queste ricerche

L’Istituto nazionale per la valutazione del sistema educativo di istruzione e di formazione (INVALSI) segue con grande interesse l’utilizzo delle sue prove come benchmark per valutare la capacità di ragionamento delle IA, poiché sono necessarie riflessioni non solo su come questo strumento stia influenzando e influenzerà la didattica ma anche su come in risposta dovrà evolvere la valutazione.  

Uno dei temi sarà legato anche al modo in cui le prove INVALSI, ma anche i docenti, dovranno cercare di misurare competenze sempre più “umane” e meno aggirabili da procedure puramente statistiche. 

Se la direzione fosse quella di puntare a limitare l’utilizzo dell’IA per lo svolgimento delle prove, i dati indicano una strategia che punta a domande aperte, con quesiti che mettano alla prova la coerenza del percorso risolutivo, anziché limitarsi alla verifica del risultato finale (come nel caso de quesiti a risposta multipla semplice o di tipo vero/falso), oppure sottoponendo nuovi tipi di prove che richiedano riformulazioni creative e ragionamenti articolati. Su questo aspetto vale la pena ricordare che molti LLM, in questo momento, non integrano sistemi in grado di “tracciare linee” o interpretare adeguatamente grafici e schemi, ciò vuol dire che problemi di questo tipo necessitano di una rielaborazione per affinché l’IA possa proporre una soluzione. 

Portare l’IA in classe

Gli esempi riportati mostrano un quadro dello stato attuale del “ragionamento” dei sistemi di IA, ma bisogna tenere presente che questi tool evolvono in fretta e le correzioni ai modelli sono continue, e permetteranno a questi strumenti di rispondere sempre meglio a ogni tipo di test. Questo non significa che i chatbot saranno capaci di “ragionare” come un essere umano ma solo che sarà sempre più difficile smascherare il loro comportamento statistico. Oggi, nel momento in cui questa tecnologia è ancora da perfezionare, è possibile mostrare agli studenti casi di ragionamento errato mostrando che affidarsi totalmente a questo tipo di tecnologia è rischioso. Lavorare in classe su un utilizzo consapevole e sullo sviluppo di competenze che permettano agli alunni di verificare la veridicità e la qualità di quello che viene proposto da ChatGPT, Copilot, Claude e tutti gli altri sistemi di IA potrebbe rivelarsi la migliore delle strategie.

Video per approfondire

Laboratorio pratico di Intelligenza artificiale | Irene Fabbri

L’intelligenza artificiale strumenti per l’insegnante | Giuliana Barberis

L’AI alla prova: valutazione dei modelli Linguistici di Grandi Dimensioni sui test INVALSI

Articoli accademici (preprint) di riferimento

“Disce aut Deficere: Evaluating LLMs Proficiency on the INVALSI Italian Benchmark” – Fabio Mercorio, Mario Mezzanzanica, Daniele Potertì, Antonio Serino e Andrea Seveso 

“INVALSI – Mathematical and Language Understanding in Italian: A CALAMITA Challenge” – Giovanni Puccetti, Maria Cassese e Andrea Esuli